Chausse-trappes

Chausse-trappes

Chausse-trappes de 14-18

Les chausses-trapes sont des pièges qui servaient de protection de tranchées. Ils étaient jetés en abondance autour des barbelés, devant les tranchées, pour perturber l’avancée des soldats ennemis.

Chausse-trappes avec des pointes fines
Modèle de chausse-trappes avec des pointes fines.

On peut s’imaginer le résultat sur un homme qui se jette au sol pour se protéger et qui se fait transpercé par les pointes.

Les blessés mouraient de septicémie, c’est à dire d’infection grave liée à la libération dans le sang de toxines sécrétées par certaines bactéries.

Chausse-trappes avec des pointes larges
Exemple de « pattes de corbeau ».

Ces deux modèles de chausse-trappes ont été retrouvés sous les barbelés en 1989. Ils se trouvaient entre le Stützpunkt 2 et le Stützpunkt 1, en amont du HOLZWASEN.

Des plus grands modèles étaient utilisés pour blesser les chevaux et les mulets sur le champ de bataille.

Publié par Roman Misslin le 02/01/2019 dans la rubrique « Armes ».

4 réponses

  1. Have you ever thought about publishing an e-book or guest authoring on other sites?
    I have a blog centered on the same topics you discuss and would love to
    have you share some stories/information. I know my audience
    would enjoy your work. If you’re even remotely interested,
    feel free to shoot me an email.

  2. I’ve been browsing online greater than three hours lately, yet I by no means discovered any
    fascinating article like yours. It’s pretty value enough for me.
    Personally, if all site owners and bloggers made good content as you probably did, the web will probably be much more
    useful than ever before.

  3. Roman Misslin dit :

    Thank you very much for your comment. Greetings from France (Alsace).

    You can also check on Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=UEUtz3lxIlY
    (forgotten German cemetery 14/18)

  4. Hello, I enjoy reading through your article. I wanted to write a
    little comment to support you.

Les commentaires sont fermés.